Il semble que la Commission ait perdu ses moyens, ou que les
internes de la ECAS mis à travailler sur les demandes de
renseignements à Europa sur la page concernée, disponible seulement
en anglais à l'heure de ce poste, ne sont pas informés du Réglement
et répondent aux citoyens de l'EU et leurs conseils sans
supervision d'un juriste compétent.
Voir les erreurs de fond dans cette réponse de la NGO employé
par la Commission Européenne de remplir une obligation de
renseignement gratuit, à un "solicitor" (avocat) anglais,
qui a été consulté par un ressortissant Britannique résident de
France suite à un refus par un notaire de conclure un testament
avec l'opton selon la règle prévue dans l'article 22 du Règlement.
Ce refus fût motivé par la page Europa. La conversation dans
le groupe Linked In, n'accessible que invitation, est
necéssairement réproduit en anglais sur le papier en tête du
cabinet avec l'accord du solicitor concerné. Lien à suivre.
Il en ressort que la ONG employée par a Commission de plus a mal
renseigné le notariat français. Cet incompétence devient
alors désastre. Il semble que Le Parlement entend soumettre cette
question à la Commission la semaine prochaine. A voir si celle-ci
ou l'ECAS, l'ONG qui assure conseil auprès des citoyens de l'Union
et d'ailleurs a l'humilité d'admettre ses erreurs et faire le
nécessaire pour pallier les inquiétudes des ressortissants
Britanniques, mais également celles des danois et des
irlandais.
Les erreurs du responsable sont d'ordre fondamental:
D'abord, le Reglementation est déjà en vigueur, donc erreur, un
testateur peut mettre en place un testament de bien entendu sous
réserve que son décès ait lieu après le 17 août, 2015. Trop pressé
la réponse.
Les dispositions du Règlement sont ouvertes à tout le
monde, comme les participants du Groupe ont fait remarquer.
Désormais, le bénéfice de l'option n'est pas soumis à un
espèce de droit parallèle 1ère classe réservé aux citoyens de
l'Union Européen. Le Règlement s'applique de droit à chaque
testateur quelque soit sa nationalité. De plus aucune
dispostion du Règlement ne permet à un juriste de conclure que le
lieu de résidence habituel soit soumis à une qualification
supplémentaire d'exclusion par faute de nationalité, même d'un
différentiel entre les ressortissants des Etats Membres "opt in" ou
"opt out". Que la Commission, chargée de la protecteur
institutionnelle de l'esprit de mise en oeuvre des dispositions
réglementaires permette une telle démarche sous son sceau "web"
dépasse la notion d'abus.
Les reactions de l'ECAS puevent être consultés sur Twitter
@HarrisTax . L'ironié est que cet organisation a automatiquement
'favoutited" mon critique. Malheureusement il en ressort que la
liberté de fournir des services juridiques nécessite des
nterventions plus musclée des vrais juristes, afin sde s'assuer que
la loi demeure intacte.